- Comme vous le souhaitez, Monsieur. Sinon, je ferai un rapport et cela sera inscrit dans son dossier.
- Alors Sergent, que choisissez-vous ? le rapport ou la punition plus sévère ?
Je
suis anéantie. Le choix est cruel et je trouve la punition bien sévère.
Mais que faire. Si je refuse, ma carrière s’arrêtera là. D’un autre
côté, qu’entend-il de plus sévère ? Il va recommencer en tapant plus
fort ? Je pense avoir fait le tour de la question dans le peu de temps
qui m’est accordé. Je regarde Monsieur Redmarks et j’acquiesce de la
tête. ...
- Répondez à la question. Vous voulez ma punition ou le rapport ?
- Votre punition Monsieur répondis-je d’une voix abattue devant l’impasse de la situation.
- Prenez note de sa décision Capitaine. Que cela reste entre nous.
Il me montre le dossier d’un des fauteuils qu’il avait pris soin de tourner.
- Penchez-vous ici, les mains sur l’assise du fauteuil.
Voyant que mon bassin n’était pas en équilibre sur le dossier, il reprit :
- Mettez-vous bien en équilibre sur le dossier et prenez comme seul appui vos mains.
Les
jambes hors du sol, les fesses à la portée de ses mains, je me sentais
vraiment très mal. Je regardais devant moi espérant vivre un simple
cauchemar. Le réveil va bientôt sonner et tout ira très bien pensais-je
jusqu’à ce que j’entende des ziiiip et clac qui me laissaient
comprendre qu’il venait d’ôter sa ceinture de son pantalon. Il commença à
me claquer sur la jupe, ce qui bien sûr ne me faisait pas vraiment mal.
- La jupe doit adoucir la punition, annonça froidement la Capitaine.
Mais quelle garce celle-là ! Elle ne pouvait pas se taire non. Pensai-je du plus profond de mon cœur.
- Vous avez raison et d’ailleurs je n’avais pas l’intention de continuer ainsi. Ôtez votre jupe Sergent. M’ordonna-t-il.
Je vais la maudire là. Maugréai-je tout bas tout en enlevant ma jupe.
- Allons dépêchez-vous un peu, on ne va pas y passer la nuit.
Je
me remets en position, espérant qu’il ne me tape pas trop fort. Les
coups reprennent, et l’absence de la jupe fait ressentir une réelle
différence. Je ne peux m’empêcher de gesticuler pour éviter les coups.
Mais en vain. Ouf, il s’arrête. Je sens la chaleur monter et irradier
mes fesses, après cette douleur cinglante de la ceinture. Ma culotte de
coton me protège encore, mais pour combien de temps. Je sens ses doigts
passer sous le tissus et d’un geste ferme il me la baisse jusqu’aux
genoux. Puis il reprit la punition cette fois-ci directement sur mes
fesses. Les coups font mal et je tente de les éviter.
- Venez la
tenir Capitaine, je tiens à ce qu’elle comprenne bien que je suis gentil
à ne lui mettant pas un rapport, mais qu’il faut malgré tout en payer
le prix.
Les poignets fermement serrés par la Capitaine, la sanction
peut alors reprendre. Je bouge mes jambes encore en liberté pour éviter
les coups. Mais la seule chose que j’arrive à faire est d’en perdre ma
culotte, laissant à mon bourreau d’un soir, une vue imprenable sur mes
parties intimes. Mais je n’en suis pas consciente. La fessée se termine
enfin.
- Relevez-vous Sergent et mettez-vous au milieu de la pièce les mains sur la tête.
Je
réalisai alors que dans cette position, ma pudeur était vraiment mise à
mal. La Capitaine et le Directeur firent le tour de mon corps admirant
la couleur rouge cerise de mes fesses et ma toison pubienne. Cinq
longues minutes passèrent ainsi d’après l’horloge du bureau. J’avais
l’impression qu’il s’agissait d’une éternité. Mes fesses me brûlaient et
j’avais envie de pleurer, trop honteuse de ce qu’il venait de
m’arriver.
- J’espère que cela va vous servir de leçon sergent. Vous
êtes l’image de l’armée et de mon service. Je n’accepte pas les
insolences et le travail mal fait. Si cela se reproduit, je serai amené à
vous sanctionner à nouveau ainsi. Vous avez le potentiel pour réussir.
Rhabillez-vous et rentrez chez vous. Mon chauffeur vous ramènera.
Je
me dépêche de me rhabiller. J’ai l’impression que mes joues sont aussi
rouges que mes fesses. Je sors du bureau et monte récupérer mes affaires
qui sont dans mon secrétariat à l’étage supérieur. Puis je passe aux
toilettes me rafraichir un peu le visage. Je redescends enfin. Le
chauffeur et la Capitaine m’attendent pour me ramener chez moi. Les rues
de Paris sont à présent désertes. Nous déposons la Capitaine sur le
chemin puis ce fut mon tour. Enfin auprès de mon mari, je n’ose lui
raconter la punition que je viens de recevoir. Nous parlons de notre
journée sans pour autant entrer dans les détails, secret professionnel
oblige. Puis nous allons nous coucher profitant de ses rares occasions
d’être en même temps à la maison pour un petit câlin fort réparateur.
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