lundi 21 septembre 2015

Le chameau coureur (4ème partie)

- Comme vous le souhaitez, Monsieur. Sinon, je ferai un rapport et cela sera inscrit dans son dossier.
- Alors Sergent, que choisissez-vous ? le rapport ou la punition plus sévère ?
Je suis anéantie. Le choix est cruel et je trouve la punition bien sévère. Mais que faire. Si je refuse, ma carrière s’arrêtera là. D’un autre côté, qu’entend-il de plus sévère ? Il va recommencer en tapant plus fort ? Je pense avoir fait le tour de la question dans le peu de temps qui m’est accordé. Je regarde Monsieur Redmarks et j’acquiesce de la tête. ...

- Répondez à la question. Vous voulez ma punition ou le rapport ?
- Votre punition Monsieur répondis-je d’une voix abattue devant l’impasse de la situation.
- Prenez note de sa décision Capitaine. Que cela reste entre nous.
Il me montre le dossier d’un des fauteuils qu’il avait pris soin de tourner.
- Penchez-vous ici, les mains sur l’assise du fauteuil.
Voyant que mon bassin n’était pas en équilibre sur le dossier, il reprit :
- Mettez-vous bien en équilibre sur le dossier et prenez comme seul appui vos mains.
Les jambes hors du sol, les fesses à la portée de ses mains, je me sentais vraiment très mal. Je regardais devant moi espérant vivre un simple cauchemar. Le réveil va bientôt sonner et tout ira très bien pensais-je jusqu’à ce que j’entende des ziiiip et clac qui me laissaient comprendre qu’il venait d’ôter sa ceinture de son pantalon. Il commença à me claquer sur la jupe, ce qui bien sûr ne me faisait pas vraiment mal.
- La jupe doit adoucir la punition, annonça froidement la Capitaine.
Mais quelle garce celle-là ! Elle ne pouvait pas se taire non. Pensai-je du plus profond de mon cœur.
- Vous avez raison et d’ailleurs je n’avais pas l’intention de continuer ainsi. Ôtez votre jupe Sergent. M’ordonna-t-il.
Je vais la maudire là. Maugréai-je tout bas tout en enlevant ma jupe.
- Allons dépêchez-vous un peu, on ne va pas y passer la nuit.
Je me remets en position, espérant qu’il ne me tape pas trop fort. Les coups reprennent, et l’absence de la jupe fait ressentir une réelle différence. Je ne peux m’empêcher de gesticuler pour éviter les coups. Mais en vain. Ouf, il s’arrête. Je sens la chaleur monter et irradier mes fesses, après cette douleur cinglante de la ceinture. Ma culotte de coton me protège encore, mais pour combien de temps. Je sens ses doigts passer sous le tissus et d’un geste ferme il me la baisse jusqu’aux genoux. Puis il reprit la punition cette fois-ci directement sur mes fesses. Les coups font mal et je tente de les éviter.
- Venez la tenir Capitaine, je tiens à ce qu’elle comprenne bien que je suis gentil à ne lui mettant pas un rapport, mais qu’il faut malgré tout en payer le prix.
Les poignets fermement serrés par la Capitaine, la sanction peut alors reprendre. Je bouge mes jambes encore en liberté pour éviter les coups. Mais la seule chose que j’arrive à faire est d’en perdre ma culotte, laissant à mon bourreau d’un soir, une vue imprenable sur mes parties intimes. Mais je n’en suis pas consciente. La fessée se termine enfin.
- Relevez-vous Sergent et mettez-vous au milieu de la pièce les mains sur la tête.
Je réalisai alors que dans cette position, ma pudeur était vraiment mise à mal. La Capitaine et le Directeur firent le tour de mon corps admirant la couleur rouge cerise de mes fesses et ma toison pubienne. Cinq longues minutes passèrent ainsi d’après l’horloge du bureau. J’avais l’impression qu’il s’agissait d’une éternité. Mes fesses me brûlaient et j’avais envie de pleurer, trop honteuse de ce qu’il venait de m’arriver.
- J’espère que cela va vous servir de leçon sergent. Vous êtes l’image de l’armée et de mon service. Je n’accepte pas les insolences et le travail mal fait. Si cela se reproduit, je serai amené à vous sanctionner à nouveau ainsi. Vous avez le potentiel pour réussir. Rhabillez-vous et rentrez chez vous. Mon chauffeur vous ramènera.
Je me dépêche de me rhabiller. J’ai l’impression que mes joues sont aussi rouges que mes fesses. Je sors du bureau et monte récupérer mes affaires qui sont dans mon secrétariat à l’étage supérieur. Puis je passe aux toilettes me rafraichir un peu le visage. Je redescends enfin. Le chauffeur et la Capitaine m’attendent pour me ramener chez moi. Les rues de Paris sont à présent désertes. Nous déposons la Capitaine sur le chemin puis ce fut mon tour. Enfin auprès de mon mari, je n’ose lui raconter la punition que je viens de recevoir. Nous parlons de notre journée sans pour autant entrer dans les détails, secret professionnel oblige. Puis nous allons nous coucher profitant de ses rares occasions d’être en même temps à la maison pour un petit câlin fort réparateur.

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